Chaud froid
Je ne sais pas avec qui j'étais, ni pourquoi j'étais à cet endroit. Je me trouvais dans une cantine. J'avais le moral à zéro. Je n'avais pas faim. Je prenais des trucs dégueulasses, soit par le goût, soit pour la santé. Quand la nana me sert le plat principal, elle fait tomber tout ce qui était sur mon plateau, tout, j'étais dégoûtée, elle avait l'air gênée, mais j'ai dis "c'est pas grave, de toutes façons j'ai plus faim".
A un autre moment dans mon rêve, je devais voir un film en famille. C'était comme si c'était vrai (le film).
Je me vois d'un seul coup sur une place, dans une ville inconnu. Il faisait beaucoup trop chaud. Je rentre, je ne sais où, et là, il s'est mit à neiger, en septembre, du jamais vu.
A un autre moment, j'étais à l'appartement, et je voyais, par vision, que le voisin de palier était un assassin. Il était grand, blond, pâle, un peu comme Boris Vian. Bien sur, une fois de plus, on était les prochains sur la liste. J'ai voulu ne pas y penser, je suis allée dans la salle de bain (qui était beaucoup plus grande que pour de vrai), je me coiffais, et sans faire exprès j'ai déréglé le chauffage, je l'ai poussé avec mon pied. Il faisait alors très chaud. J'ai crié pour que quelqu'un vienne le remettre, parce que j'avais trop la flemme d'essayer de comprendre comment marche le radiateur de tes rêves.
Mais comme Michael n'est pas venu, et que personne d'autre non plus (tous les personnages de mes rêves avaient disparu! Merci hein!), j'ai du essayer de le remettre moi même. Bon, bah c'était le chauffage de l'an 4000, incompréhensible et pourtant super efficace. C'était pas plus tu tournes vers toi c'est froid et plus tu pousses c'est chaud, ou l'inverse, non c'était une histoire de cran. A un moment je l'ai trop poussé, il s'est mit à faire très chaud, comme dans un four, et j'ai voulu réctifié mais il a fait super froid.
J'ai réussi à réparer le radiateur, quand quelqu'un frappa à la porte. C'était le tueur. Je crois qu'avec moi il y avait mon père (une fois de plus). On ne voulait pas ouvrir la porte, quelqu'un commença à tester le voisin, voir si c'était vraiment un méchant. Mais tout le monde était naïf et s'est mit à croire en la bonté du vilain. J'étais la seule à voir qu'il mentait pour mieux nous tuer en face. Je me suis réveillée.
0 Comments:
Post a Comment
<< Home