Mes rêves

Thursday, September 28, 2006

La Mort

J'ai fait deux rêves cette nuits, j'ai eu le droit à deux sommeils paradoxaux.

Le premier, enfin ce dont je me souvient, je me vois sur des escaliers, genre Montmartre. Il y avait beaucoup de monde qui montait et descendait... Mais je ne perdais de vue la personne avec qui j'étais : un Thiéfaine, mêlé d'un Dutronc... Mais c'était Thiéfaine en fait (juste que mon esprit la reconstitué un peu à la Dutronc). Nous étions amoureux, nous nous promenions tous les deux dans Paris. Nous devions aller je-ne-sais-où, alors nous prîmes le métro. Ce dernier avait un léger retard. Sur le quai d'en face, il y avait une vieille dame, une clocharde. Elle n'était pas complétement pété (comme l'autre connard d'avant hier qui m'a donné un grand coup dans le sein). Non, elle avait l'air sereine et voulait apparemment être en paix. Elle descendit du quai pour se coller, au chaud, contre les rames du métro. Elle n'était pas complétement inconsciente et savait ce qu'elle faisait. Elle voulait être en paix. Une autre dame, la cinquantaine, sur notre quai se mit à crier "Ne la laisser pas faire! Allez la chercher avant que le métro ne passe!". Mais personne en voulait prendre le risque. Le métro arriva mais freina brusquement juste devant la clorcharde. Puis le chauffeur a du se dire "Oh et puis merde, tant pis pour elle" et fonça.
Je me suis réveillée en sursaut, il était environ 4h du matin.

D'après ce que j'avais apris la veille, il faut 90 minutes pour tomber dans le sommeil paradoxal dans lequel nous rêvons.


Je me suis aisément rendormie, malgré le fait que j'ai toujours du mal à m'endormir après un cauchemar.

Je me souviens, dans ce deuxième rêve, être amoureuse d'un garçon, ou plutôt un homme (la trentaine). Je me vois dans un train qu'il a construit seul, genre le train de la mine à Disney. Il me le faisait tester, à moi ainsi qu'à quelques amis. Cet homme ne semblait pas être amoureux de moi, il semblait bien trop préoccupé à des choses bien plus importantes. Une fois que ses amis partirent, je voyais cette histoire comme un film que j'adorais. Je me disais "j'adore ce film, même si je chiale à chaque fois que je le regarde" : je réalisais alors que l'homme dont j'étais amoureuse était fraîchement veuf, il avait perdu son amie, je ne sais comment. Il ne pensait qu'à avancer dans la vie, et rien ne faisait obstacle, je n'avais aucune chance avec ce garçon.
Je me vois toute seule avec lui dans sa cuisine. Une pulsion sexuelle m'a poussée à l'embrasser langoureusement, et bizarrement, il n'avait pas l'air contre avoir une relation sexuelle avec moi. Il a répondu à mon baiser par un "mmmh... Pourquoi pas?".

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