Mes rêves

Saturday, October 28, 2006

Je n'ai pas le temps, mon esprit est ailleurs

Voilà, cette nuit (ce matin en fait) j'ai fait ce rêve assez pénible :

Michaël et moi étions poursuivis par la police. On courait dans tous les sens. Je ne sais pas ce qu'on avait fait pour se faire rechercher, mais je crois que ça a un rapport avec Bertrand Cantat et Marie Trintiniant parce que quand j'ai regardé l'affaire du petit Grégory tout à l'heure, l'actrice qui joue le rôle de la mère m'a fait penser à Marie Trintiniant et j'ai eu un flash.
Bref, à un moment, Michaël était épuisé de courir. Alors il s'est arrêté, il avait du mal à reprendre son souffle. Je lui disais "Mais t'es fou! Ils vont nous attraper, je ne veux pas aller en prison!", mais il m'a tendu son poignet qui était déjà menotté. Ce geste signifiait "allez, viens avec moi".
Il n'était même pas question que lui et moi soyons séparés. L'idée ne m'a même pas traversé l'esprit. Je me suis alors liée à lui avec la menotte qu'il restait.

En prison, nous avions un minimum de confort. Un matelas, des boxers de rechange (oui, des boxers, ils ne pensaient pas aux femmes), et quelques vêtements pour tenir le coup l'hiver, en l'occurence deux polaires. J'avais réussi à introduire dans la cellule des trucs qu'on avait sur nous comme mon ordinateur portable avec internet et un autre truc, genre la DS. On les utilisait en cachette de peur que les gardiens nous les confisquent.
A un moment on a voulu faire l'amour mais j'avais peur que les gardiens nous voient.
Pensant au fait que je n'avais même pas eu le temps de récupérer toute mes affaires et que personne ne pouvait me les apporter (dans mon rêve, ma famille n'existait pas, il n'y avait que Michaël), je me suis laissée tomber sur le matelas en pleurant. Quand j'ai craqué, tous les autres prisoniers se sont agglutinés devant nos barreaux pour me regarder pleurer, j'avais l'impression d'être une vitrine des galeries Lafayette à Noël. J'avais peur d'avoir froid l'hiver.

Je me suis réveillée.

Monday, October 23, 2006

Cassoulet

C'était comme un jeu, je me retrouvais systématiquement au même endroit. Je devais prendre le métro sur la ligne 14, à une station inconnue. Je courais, je courais, je courais à en perdre haleine, je ne devais surtout pas rater le métro. Mais le probleme c'est qu'il y avait des tourniquets partout partout partout, ainsi que des portes palières qui s'amusaient à se fermer juste au moment où je passais. J'ai pas arrêté de louper le métro, et comme je le disais, à chaque fois que je le loupais, je devais recommencer le parcours. A un moment, j'ai réussi à l'avoir, mais il y avait des problemes de trafic, le métro n'avancait pas.

Autre rêve :

J'étais juste en face de mon ancien collège/lycée, sur le rond point.
On devait recevoir Teddy et Jessica, qu'on avait reçu la veille pour de vrai. Ils étaient en retard et du coup ils devaient ramener le manger : du cassoulet. C'était une boîte de conserve. Je l'ai ouverte et j'en ai versé un peu dans une casserole pour commencer à faire réchauffer. Je me suis retrouvée dans le bus scolaire, qui s'amusait à faire le tour du rond point. J'ai pris le train et j'ai croisé quelques filles de l'école de l'année dernière, où je voulais passer mon BTS. J'allais à un genre de cours de Yoga, c'était super connu ça passait à la télé. Mais c'était spécial, puisqu'en fait on faisait du sexe. Un cours où on apprend à prendre du plaisir. Je me suis retrouvée, sans avoir demandé quoi que ce soit, allongée sur un tapis de yoga, avec un partenaire qui me rentrait dedans. Ca faisait du bien, mais bon... Comme un massage quoi, pas l'extase non plus. A la fin, mon partenaire, que je ne connaissais ni d'Eve ni d'Adam, me fait un sourire de play boy et me demande "voulez-vous que je la retire?", un peu débousolée, je réponds "euh, oui", et là me dit "elle est déjà retirée!", parce qu'en fait son sexe avait déformé mon vagin. Ah ah, très drôle.

Wednesday, October 18, 2006

Attirée par un tueur

J'ai à nouveau rêvé d'un tueur, il faudrait peut-être que je me renseigne sur la signification...

J'ai rêvé que j'étais dans un genre de camp de vacances. Je crois que je voulais faire du shopping dans un magasin en particulier mais la vendeuse était en retard. Quand elle est arrivée, elle m'a rapidement dit que la boutique était fermée, qu'il s'était passé quelque chose : une jeune femme a été tuée.
J'étais plus curieuse qu'appeurée, un peu comme quand il y a un accident de voiture, on ralenti pour regarder les dégâts. Mais bon, je ne savais pas où était le corps. Les filles autour de moi paniquaient. J'ai fini par avoir un peu peur à mon tour. Du coup on a pris un petit bus pour partir, mais à un carrefour, je vois un corps, de jeune fille, allongé sur le sol, et quelques personnes autour. Je suis descendue du bus, les personnes autour de la nouvelle victime (oui c'en était une autre) ne réagissaient pas. Je me suis mise à crier "appelez les secours! la police! Mais faites quelque chose", ils ont donc réagi... Un peu plus loin, je voyais d'autres filles. Attirée par les emmerdes, je savais qu'en me dirigeant vers ces filles, je me dirigerais vers le tueur également. J'avais déjà compris le genre de cible qu'il visait. Evidemment, l'homme surgit et prit les filles en otages. Il était pas très grand, châtin clair voire blond. Il les menaçait avec un revolver. Comme j'étais encore un peu à part, je réussi à m'enfuir, mine de rien, un peu plus loin.
Mais je savais que je ne faisait que gagner un peu de temps... Et mon assassin m'attirait. Je me suis donc jointe au groupe d'otages. Il attendait qu'une fille se sacrifie. Je ne voulais pas mourir, et pourtant, je pris un risque : je ne sais pas pourquoi, mais je me suis mise à lui expliquer que c'était plus excitant de voir des seins qu'à moitié. Là, je lui ai fait une petite démonstration : je lui montre mes seins qu'à moitié, en baissant un peu plus mon décolleté. "Tu vois, comme ça, c'est beaucoup plus excitant que comme ça..." et là je lui montre entièrement mes seins. J'étais excitée par ce petit jeu, je risquais ma peau. Je lui demandais, en laissant la moitié de ma poitrine à deux centimètres de ses yeux figés, s'il était d'accord avec moi. Pour me répondre, il plongea son visage entre mes seins et fit mine d'arracher mon soutien gorge avec ses dents, mais en fait il le coupa avec son long couteau.
Il ne savait pas qui tuer, il était devenu difficile, les filles autour de moi, une à une se sacrifiaient mais il trouvait toujours des prétexte pour ne pas les tuer. Une fille qui était avec moi en primaire et au collège se mit à crier "Tue moi! tue moi!" et, sous les yeux de son petit frère (à la fille), mon assassin lui tira une balle dans le visage. La fille fit la grimace et dit "aïe" et s'écroula. Elle était mauvaise actrice, en fait il lui avait explosé l'oreille.

J'avais très peur quand je me suis réveillée.

Tuesday, October 17, 2006

Pika

J'ai rêvé que je retournais à Villeneuve-la-Garenne, dans mon ancienne entreprise, et qu'ils avaient du mal à gérer la paperasse sans moi. Du coup ils m'ont indirectement demandé de les aider, de rebosser pour eux. J'ai dis "ok, mais alors je veux un tout petit temps partiel, je ne viendrai que... tiens bah le jeudi après midi par exemple".

Saturday, October 14, 2006

Wacaille de Shangaï

En m'endormant, je marchais dans la rue, bien, la fille qui se la pète et tout, et d'un seul coup, j'ai perdu l'équilibre et je me suis cassée la gueule. Je me suis réveillée en sursaut, j'ai réveillé Michaël qui m'a aussitôt demandé ce qui m'arrivait. " - Je me suis cassée la gueule... - Ben t'es trop près du bord. - Non, dans mon rêve, j'étais sur un trottoir et je me suis pétée la gueule".

J'ai rêvé que j'étais dans un HLM, que je devais chercher un paquet, ou ché pas trop quoi. Je suis tombée sur deux connards, deux racailles qui voulaient me faire du mal.
Je ne sais pas comment ça s'est terminée.

Dans un autre rêve, ou alors c'était la suite, je sais pas trop bien, j'ai rêvé que j'allais rendre visite à mes copines de mon école de l'année dernière. Elles m'avaient fait une petite place pour que je suive le cours avec elle. Mais au moment où je rentre dans la classe, la fille qu'on n'aime pas trop dans la classe arrive et dis en gros "non je regrette, mais cette place est réservée, mon père vient!". Du coup je suis partie, je me sentais seule et rejetée, mes copines n'ont même pas tenté de me rattraper. Je m'enfonçais dans une solitude, une tristesse, et dans l'eau aussi... Tout est devenu assez sombre et je me retrouvais dans l'eau. Deux racailles sont de nouveau venues me faire chier, elles ont du tenter de me noyer. J'avais l'impression d'être cernée de deux requins. Je ne sais comment, j'ai réussi à y échapper et j'ai couru vers la classe pour demander de l'aide. Là, le père de la fille était mon prof de compta quand j'étais en bac pro commerce. Il se moquait de moi, il voulait pas m'aider, il pensait que je faisait ça pour que je lui chourre sa place.

Thursday, October 12, 2006

Enfant

Alors j'étais avec Sandra, elle tenait dans ses bras son petit Egide. Je lui ai fait un bisou, et il m'a fait un bisou, c'était mignon.

Dans un autre rêve, la même nuit, j'ai rêvé que mon petit frère Gaël venait dans l'appartement, ici à Paris, ainsi que ma famille. Mais le petit était omniprésent. Depuis quelques jours, mon père, ma mère et mon petit frère me dise que ce dernier m'a fait deux cholis dessins. Dans ce rêve, je lui manquais, et il avait peur qu'ils ne me manquent pas. En entrant dans la cuisine, je vois toutes les photos de famille accrochées partout sur les placard. Gaël était très fier de lui!

Wednesday, October 11, 2006

Jupe

J'étais pressée, je devais m'habiller rapidement.
Je voulais être sexy, j'ai mis une nuisette noire à dentelle blanche au niveau du décolleté, une jupe par dessus mais je ne trouvais pas le haut.